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Dentelles de Sophie
29 août 2007

Le musée d'Arenys

Après avoir vu la dentellière, remontez la rue principale, et prenez la rue de l'église. La rue, étroite, abrite plusieurs musées, dont un musée de dentelle. On le reconnait facilement: la plupart des maisons affichent le métier de leurs occupants en carrelage.
Sur deux étages, le musée abrite une belle collection de dentelles, essentiellement de la famille Castells, anciens propriétaires d'une société de production de dentelle main, de 1862 à 1968.

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En se promenant dans la rue, on trouve d'autres plaques en céramique représentant le métiers des habitants (ou anciens habitants): un tisserand

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une brodeuse

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28 août 2007

Arenys de Mar

Arenys de Mar est une station balnéaire, à 20 km au nord de Barcelone.
La rue principale est en pente douce vers la mer. Tout en bas, une dentellière vous accueille.

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27 août 2007

Encore deux mouchoirs

Deux d'un coup! Mais comment fait-elle?
Tout simplement, nous avons attendu six heures sur le port de Tanger avant d'embarquer sur un ferry. Oui, six heures de queue!!
Heureusement j'avais prévu de quoi m'occuper.

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26 août 2007

Chellah

Le Chellah, tout près du centre-ville, a d"abord été une ville romaine, longtemps désertée, puis de nouveau habitée par les Mérinides (13°s). Il en reste une grande nécropole, entourée d'une grande muraille, ainsi que quelques ruines de constructions. L'une des pierres tombales comporte un trou, on y glisse le bras, et la pierre est sensée se refermer pour retenir prisonnières les femmes adultères.
Aujourd'hui les cigognes et les ibis s'y sont installés.

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25 août 2007

Troisième mouchoir

Toujours un montage au point de Paris.

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21 août 2007

Mes achats à la médina

Voici mes achats à la médina:
- de la percale blanche, pour faire du boutis; j'ai pris tout le rouleau chez le marchand: en trois mètres de large, une largeur assez exceptionnelle, plus de dix mètres de tissu, que je n'ai pas mis sur la photo, je me suis dis que ça n'allait pas bien rendre.
- à gauche, une écharpe en soie et broché, il faut l'avoir dans les mains car les fils métalliques passent d'un côté, où ils sont tissés, à l'autre côté, entièrement pris entre deux épaisseurs de tissage de soie. Je ne sais vraiment pas comment c'est fait.
- au milieu, un jeté de lit en sisal (ici appelé sabra), c'est la fibre tirée de l'agave, aussi communément appelé aloès. Il faudra que je le mesure, mais c'est immense. Tissé main évidemment, attention c'est une fibre très inflammable.
- à droite une autre écharpe, toute douce, c'est du coton. Le tissage est beaucoup plus simple, mais c'est aussi très joli.

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20 août 2007

Deuxième montage

Deuxième 'mouchoir' (je ne me moucherais pas dedans!) aponcé et monté, encore au point de Paris.

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19 août 2007

L'arbre qui saigne

C'était dans les années 1970, place Piétri de Rabat. C'était une place charmante, avec sur le terre-plein central un marché aux fleurs. Aujourd'hui elle est toute bétonnée avec un parking souterrain, mais ce n'est pas le sujet.
A un bout de la place, un terrain disponible, et un projet immobilier. Pour pouvoir construire, il y a un eucalyptus qui gène, il va donc falloir l'abattre.
Un premier ouvrier monte avec une tronçoneuse, la met en route, et se blesse (se coupe la main ou un doigt, je ne sais plus).
Un deuxième ouvrier monte avec la tronçoneuse, arrivé en haut il met en route, commence à entailler une branche et voit le sang du premier.... Il s'arrête net: l'arbre saigne, les jnouns sont là, il ne faut pas le couper! Il redescend.
Après son récit, plus aucun ouvrier n'accepte de monter couper cet arbre. Et bientôt c'est toute la ville de Rabat qui défile pour venir voir cet arbre qui saigne et refuse d'être coupé.
Quand l'histoire arrive à Fès, l'arbre parle même....
Le projet immobilier a été interrompu, le temps de refaire les plans, pour que l'immeuble laisse sa place à l'arbre.
Aujourd'hui l'arbre qui saigne est toujours debout!

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18 août 2007

Manufacture de tapis

Au bord de mer et le long de la berge du Bou-Regreg, le promontoire des Oudaïas surplombe l'embouchure et la ville de Salé sur l'autre rive.
Entrez dans les Oudaïas par la porte du bas: les jardins sont magnifiques, vous pouvez prendre un thé à la menthe au salon de thé du jardin.
Entrez dans les Oudaïas par la porte du haut: continuez tout droit dans la rue principale (ne cédez pas aux rabatteurs qui veulent vous faire visiter la corniche), tout droit jusqu'au bout de la rue et la porte marquée Dar Baraka, alors tounez à gauche et sur la grande place se trouve la manufacture de tapis de Rabat.
Quelques métiers de haute lisse, sur lesquels les femmes travaillent au point noué dit point de Smyrne. Le motif à suivre est accroché à un bout de papier, les différentes couleurs à utiliser pendouillent à portée de main. Le fil est coupé au couteau après chaque point, ce qui donne un tapis tout effiloché, il est proprement taillé une fois tombé du métier.
Côté travail:

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Et à l'envers:

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16 août 2007

Vacances studieuses

Grâce à mes articles précédents, vous avez compris que je suis en vacances. Je suis partie sans carreau... Mais pas sans travail! J'en ai profité pour emporter mes aponces et montages en souffrance depuis... Passons.
Voici le premier, le trèfle en Bayeux, monté au point de Paris.

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