Les sept sœurs
Les sept sœurs de Lucinda Riley.
À la mort de leur père, énigmatique miliardaire qui les a adoptées aux quatre coins du monde lorsqu'elles étaient bébés, Maia d'Aplièse et ses sœurs se retrouvent dans la maison de leur enfance, Atlantis, un magnifique château sur les bords du lac de Genève. Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leur origine.
La piste de Maia la conduit au-delà des océans, dans un manoir en ruines sur les colines de Rio de Janeiro, au Brésil. C'est là que son histoire a commencé... Secrets enfouis et destins brisés : ce que Maia découvre va bouleverser sa vie.
Les sept sœurs est le premier roman de la série événement du même nom, qui a conquis 50 millions de lecteurs dans le monde entier. À travers ces romans au souffle unique, peuplés de personnages inoubliables, liés par les drames et l'amour, Lucinda Riley a affirmé comme jamais auparavant son immense talent, créant un nouveau genre littéraire à part entière.
Un livre prenant, qui se lirait d'une traite s'il n'y avait pas 500 pages. Le roman mélange fiction et réalité. La recherche de ses origines emmène Maia à Rio, et le roman nous emmène dans l'histoire de sa fammile d'origine, dans le Rio des années 1920. On suit de loin la construction du Christ Rédempteur, entre Rio et Paris où furent sculptées les mains et le visage de la statue. Peu de références textiles dans ce roman, à part la description de belles toilettes portées par la bonne société brésilienne lors de soirées mondaines, mais c'est assez courant dans ce genre de roman. J'ai juste noté, chapître 34, une description qui me semble curieuse.
"La foule s'était massée devant la cathédrale pour voir l'arrivée d'Isabela, et les acclamations jeillirent quand elle descendit de la Rolls-Royce, vêtue d'une époustouflante robe en dentelle de Chantilly dessinée par Jeanne Lanvin à Paris."
S'est-elle mariée en noir? Je sais que le blanc n'a pas toujours été la couleur portée par la mariée. Mais la dentelle Chantilly, pas de doute, c'est de la soie noire!
Pourquoi parler de ce livre donc s'il n'y a pas une référence textile? On le verra demain.